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Avant le choc des primes, les acteurs de la santé hyperventilent

Les acteurs de la santé sont plus nerveux que jamais alors qu’une grande réforme du système suisse, désormais trop cher pour une grande partie de la population, devient inévitable. La faîtière Curafutura y croit encore et propose trois pistes à suivre

Konrad Graber: du sénateur influent au président de Curafutura. — © PETER KLAUNZER
Konrad Graber: du sénateur influent au président de Curafutura. — © PETER KLAUNZER

A un mois de l’annonce des primes maladie pour 2024 et à deux mois des élections fédérales, le monde de la santé vit une période d’effervescence comme elle en a rarement vécu. Qu’elles viennent des partis ou d’autres acteurs de la santé, les propositions fusent: le PS se prépare à lancer une nouvelle initiative pour une caisse publique cantonale; le PLR Philippe Nantermod suggère une assurance «low cost»; la Fédération romande des consommateurs (FRC) exige un gel des primes. Ce week-end enfin, la ministre de la Santé Natalie Rickli (UDC/ZH) a estimé qu’il fallait se reposer la question du caractère obligatoire de l’assurance maladie.

Lire aussi: La FRC propose un gel des primes et relance le débat sur la hausse des coûts de la santé

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