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Bataille d’initiés pour diriger le canton de Zurich

Les Zurichois renouvelleront bientôt leur exécutif et leur législatif cantonal. Si les cartes sont ouvertes au niveau parlementaire, le combat pour le Conseil d’Etat s’annonce bien plus fermé, largement accaparé par des barons de la politique cantonale

Agrandir l'image De gauche à droite, l’ensemble du Conseil d’Etat zurichois avec: Jacqueline Fehr (PS),  Martin Neukom (Les Vert·e·s), Natalie Rickli (UDC), Mario Fehr (indépendant), Silvia Steiner (Le Centre), Ernst Stocker (UDC) et Carmen Walker Späh (PLR). (KEYSTONE/Wal — © WALTER BIERI / KEYSTONE
De gauche à droite, l’ensemble du Conseil d’Etat zurichois avec: Jacqueline Fehr (PS), Martin Neukom (Les Vert·e·s), Natalie Rickli (UDC), Mario Fehr (indépendant), Silvia Steiner (Le Centre), Ernst Stocker (UDC) et Carmen Walker Späh (PLR). (KEYSTONE/Wal — © WALTER BIERI / KEYSTONE

Les élections cantonales zurichoises approchent, signe avant-coureur de la fièvre des élections fédérales. Souvent perçu comme un premier ballon d’essai avant le grand rendez-vous national, le scrutin agendé en février 2023 sera ausculté dans tout le pays avec cette question – la même à Zurich qu’à Berne: la gauche pourra-t-elle conserver ses gains parlementaires acquis en 2019?

Après une législature à nulle autre pareille, entre pandémie, guerre en Ukraine, sécheresse et crise énergétique, les cartes sont ouvertes dans le canton le plus peuplé de Suisse, où la droite espère marquer un retour en force au niveau exécutif comme législatif. Le pari ne sera toutefois pas aisé au Conseil d’Etat, dont l’ensemble des membres se représentent en 2023 – malgré une majorité de politiciens en âge de prendre leur retraite.

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