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A Wimbledon, 69 joueurs sont passés par une université américaine

Longtemps considéré comme un bon moyen de se dédier à sa passion tout en préparant son après-carrière, le système universitaire NCAA est de plus en plus perçu comme une autre voie, plus douce, pour accéder au tennis professionnel

Agrandir l'image L’Américain Steve Johnson et l’Anglais Ryan Peniston entrant sur le court N° 3 pour leur deuxième tour du tournoi de Wimbledon, le 29 juin 2022. Les deux joueurs sont issus du système universitaire américain. — © PAUL CHILDS / REUTERS
L’Américain Steve Johnson et l’Anglais Ryan Peniston entrant sur le court N° 3 pour leur deuxième tour du tournoi de Wimbledon, le 29 juin 2022. Les deux joueurs sont issus du système universitaire américain. — © PAUL CHILDS / REUTERS

Malgré la défaite (7-6 6-3 5-7 6-4), le public suisse a découvert mardi soir Alexander Ritschard, épatant d’audace, de puissance et de constance face à Stefanos Tsitsipas pour son premier match en Grand Chelem. A 28 ans, le Zurichois n’est plus un novice. S’il a longtemps navigué sous les radars, c’est parce qu’il a été handicapé par des problèmes à un bras et a hésité entre les nationalités suisse et américaine, mais aussi parce qu’il est parti trois ans étudier et jouer aux Etats-Unis, à l’Université de Virginia.

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