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François Rivasseau: «Un pouvoir de sanction pour l'OMS? Ce n'est pas sa vocation»

Ambassadeur à la mission de France auprès des Nations unies à Genève, il achève sa carrière diplomatique ce mardi. Membre du groupe de travail de l'OMS planchant sur la réforme de l'organisation, le diplomate estime que l'agence onusienne sort renforcée de la crise

Agrandir l'image «L’OMS doit être capable de réagir plus fortement», déclare François Rivasseau, ambassadeur à la mission de France auprès des Nations unies à Genève, au cours de son interview pour «Le Temps». — © Fabrice Coffrini/AFP Photo
«L’OMS doit être capable de réagir plus fortement», déclare François Rivasseau, ambassadeur à la mission de France auprès des Nations unies à Genève, au cours de son interview pour «Le Temps». — © Fabrice Coffrini/AFP Photo

Ambassadeur de France auprès de l’ONU à Genève depuis trois ans, François Rivasseau achève sa carrière dans la diplomatie ce mardi. S’il restera actif au sein de la Genève internationale, il est actuellement l’un des six membres d’un groupe de travail qui planche sur la réforme de l’Organisation mondiale de la santé à la lumière de la pandémie de Covid-19. Il dévoile pour Le Temps les pistes de réforme de l’OMS et tire un bilan de son action depuis l’apparition du SARS-CoV-2.

Le Temps: Jusqu’en juin 2022, vous œuvrez au sein d’un groupe de travail sur les possibles réformes de l’OMS. Pourquoi une réforme est-elle nécessaire et quels en sont les objectifs?

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