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Vania Alleva, présidente d'Unia: «Les femmes sont toujours en colère»

En 2019, la grève des femmes avait débouché sur une vague violette aux élections fédérales. Les collectifs féministes ont décidé d’en reconduire une l’an prochain, pour rappeler que «les revendications d’alors n’ont rien perdu de leur urgence», selon la présidente d’Unia

Agrandir l'image Vania Alleva, la présidente du syndicat Unia. Le 20 mai 2019. — © PETER KLAUNZER / KEYSTONE
Vania Alleva, la présidente du syndicat Unia. Le 20 mai 2019. — © PETER KLAUNZER / KEYSTONE

Ce sera l’un des événements politiques de l’année prochaine. Le 14 juin 2023, les femmes feront de nouveau grève, et cela de manière très décentralisée comme en 2019. Les collectifs féministes romands se réuniront le 28 janvier à Lausanne, puis participeront à des assises nationales le 4 mars. Dans quelle mesure cette grève pèsera-t-elle sur les élections fédérales d’octobre prochain? Les réponses de Vania Alleva, la présidente du syndicat Unia.

Le Temps: Votre syndicat a annoncé soutenir une nouvelle grève des femmes pour le 14 juin 2023. Parviendrez-vous à faire de nouveau descendre 500 000 femmes dans la rue?

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